Mais l’expression n’existe pas c’est ça qui m’a fait rigoler, c’est pour ça que j’ai remis « s’en carrer l’oigner » qui elle existe. Tu la connais celle-ci non ?
Je ne la connais pas non plus cette expression, c’est aussi ce qui m’a fait rire et l’inclure « faussement ». J’ai n’ai pas été compris.
Mais « s’en carrer l’oignon » ça je connais, toi aussi non ?
Ah ! Je comprends mieux pour l’expression, quoique je n’ai jamais entendu « s’en carrer l’oignon ».
J’ai également oublié de mentionner une variation sur le thème illustré, qui est particulière à Alfred : Lorsque je tente de me lever pour libérer une vessie sur le point d’éclater, non seulement Alfred fait-il preuve de la plus mauvaise volonté du monde, mais il passe ensuite au stade de la torture : le massage pattifique de la vessie (dont il sait avec une précision chirurgicale où elle se trouve).
Ah mais ça c’est dans le lit au petit matin pour moi, tu es certain que l’une des deux me marche aussi sur la vessie en toute innocence, alors que je résiste pour ne pas me lever par flemme absolue !!
L’expression c’était une plaisanterie, ça vient d’une story Instagram sur les chats comme il en existe des millions avec des expressions approximatives.
Mais « s’en carrer l’oignon » tu connais non ?
A vrai dire, c’est plutôt à la base l’expression « tu peux te la carrer dans l’oignon » qui est comme « tu peux te la mettre au cul ». Et le « j’en ai rien à carrer » qui correspond à « j’en ai rien à foutre » l’a rencontré approximativement pour mon « je m’en carre l’oignon » (qui est un équivalent de « je m’en bats les couilles »). Je me rends compte que c’est un barbarisme de gros trucs dégueulasses, mais bon la langue est vivante et créative !!!
je ne connaissais pas cette expression !
Mais l’expression n’existe pas c’est ça qui m’a fait rigoler, c’est pour ça que j’ai remis « s’en carrer l’oigner » qui elle existe. Tu la connais celle-ci non ?
Ah ha! C’est ainsi chez nous aussi… Et je n’avais jamais entendu cette expression non plus.
Je ne la connais pas non plus cette expression, c’est aussi ce qui m’a fait rire et l’inclure « faussement ». J’ai n’ai pas été compris.
Mais « s’en carrer l’oignon » ça je connais, toi aussi non ?
Ah ! Je comprends mieux pour l’expression, quoique je n’ai jamais entendu « s’en carrer l’oignon ».
J’ai également oublié de mentionner une variation sur le thème illustré, qui est particulière à Alfred : Lorsque je tente de me lever pour libérer une vessie sur le point d’éclater, non seulement Alfred fait-il preuve de la plus mauvaise volonté du monde, mais il passe ensuite au stade de la torture : le massage pattifique de la vessie (dont il sait avec une précision chirurgicale où elle se trouve).
Ah mais ça c’est dans le lit au petit matin pour moi, tu es certain que l’une des deux me marche aussi sur la vessie en toute innocence, alors que je résiste pour ne pas me lever par flemme absolue !!
Bravo pour cette histoire illustrée et bravo aux chats pour leur coopération. Quant à l’expression, je ne l’avais jamais entendue non plus,
L’expression c’était une plaisanterie, ça vient d’une story Instagram sur les chats comme il en existe des millions avec des expressions approximatives.
Mais « s’en carrer l’oignon » tu connais non ?
Merveilleuse Sookie ! Impériale !
Je ne connaissais pas l’expression, mais, comme tu l’écris, Matoo, une autre, approchante
Je pense que c’était une manière plus *polie* d’écrire « s’en battre les couilles ». Et comme les couilles et l’oignon sont assez proches !
eh non, je ne connaissais pas non plus l’expression originale ! ;-)
A vrai dire, c’est plutôt à la base l’expression « tu peux te la carrer dans l’oignon » qui est comme « tu peux te la mettre au cul ». Et le « j’en ai rien à carrer » qui correspond à « j’en ai rien à foutre » l’a rencontré approximativement pour mon « je m’en carre l’oignon » (qui est un équivalent de « je m’en bats les couilles »). Je me rends compte que c’est un barbarisme de gros trucs dégueulasses, mais bon la langue est vivante et créative !!!