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Pectus est quod disertos facit. ∼ Pédéblogueur depuis 2003 (178 av LLM).

Colette et Georges

Baptiste Coulmont nous propose encore une histoire fascinante (mais tellement classique et pullulante) que l’on peut reconstituer en lisant les archives de l’administration.

On y voit s’y afficher tous les préjugés de l’époque, et notamment un sexisme décomplexé, associé à de la misogynie et du mépris de classe, qu’il vienne d’ailleurs d’hommes ou de femmes. Et forcément je me demande mais quelle vie ont-ils bien pu vivre ensuite ? Ça donne envie de retrouver les quelques marqueurs de nos vies (naissance, mariage, décès) et d’en lire les indices subliminaux (villes, professions, témoins etc.) pour eux et leurs descendants.

  • Oui. Et en même temps, chaque société, chaque façon d’être parent laisse son empreinte qui, vue avec le recul, semble souvent peu apropriée.

    Bref.

    Imparfaite humanité.

    • Ah mais il y a une différence entre acheter le dernier iPhone à un môme de 4 ans, et des jugements de valeur dégueulasses à des orphelins en souffrance avec circonstance aggravante sur le genre des personnes. :gene: Mais je te rejoins sur le jugement rétrospectif qui est, lui-aussi, très empreint de jugement mais seulement à l’aune de nos valeurs à nous. Et c’est en effet jamais parfait ou simple d’être parent. :huhuchat:

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