C’est en lisant le blog Grignotages de la souris, que j’ai été happé par cette lecture « Eloge de la fadeur » au premier titre1, et ensuite par cette merveilleuse trouvaille de la roue des émotions de Robert Plutchik. Bon, déjà, le mec a un nom génial qui a l’air de sortir d’un conte de fée slave des confins de l’Oural, mais surtout c’est un système passionnant qui expose en principes simples et combinables des phénomènes humains qu’on a tellement de mal à « mettre en sciences ».
J’avais de loin entendu ce truc comme étant justement la source des émotions dépeintes dans Vice-Versa, mais comme un idiot je n’avais jamais poussé mes investigations plus loin (et Dieu sait que je suis pris dans des vortex Wikipédia pour moins que ça ).
- Et j’adore ce qu’elle explique du bouquin de François Jullien qui relate que la fadeur est une véritable qualité et quête idéale de la culture chinoise. ↩︎