Alain Korkos parle de son attrait pour les peintures de Morandi Giorgio dont je n’avais jamais entendu parler. Avant de lire complètement l’article, je gougle l’artiste pour voir ses peintures. Et là je vois une ribambelles de natures mortes à base de pots, vases, verre et autres récipients banals, sur des couleurs neutres un peu passés. Ouai, bof… Et je lis l’article, et mon esprit s’émerveille en même temps que je comprends pourquoi ça lui plait. Et du coup, je vois les toiles différemment, je saisis son point de vue et il m’influence. Ce n’est pas la première ni la dernière fois que j’ai besoin qu’on m’aide un peu à réfléchir ou à ne pas zapper en deux secondes un sujet, comme on en est malheureusement maintenant un peu trop habitué avec notre société tindeurisée. Ca fait du bien (à l’humilité, hu hu hu).
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