MatooBlog

Pectus est quod disertos facit. ∼ Pédéblogueur depuis 2003 (178 av LLM).

Eté 2004 : no comment

Heureusement que je suis allé à Stockholm avec Diego, sinon ce serait vraiment la misère de chez misère. En effet, j’ai annulé ma troisième semaine de congés, après avoir zappé la seconde. Je devais rattraper le fait de ne pas aller à Barcelone la semaine passée, en allant à Montpellier (ville que j’adore) pour passer du temps avec Virginie (fille que j’adore) sous le soleil (temps que j’adore) du sud de la Gaule.

Au lieu de cela, je dois passer la journée de mardi à Bruxelles pour le boulot, et du coup je me suis dit que cela ne servait à rien de conserver ce simulacre de vacances en tête. Allez hop, j’ai tout envoyé bouler. Comme ça au moins, je ne fais pas comme la première semaine que j’ai passé à Paris en me connectant en VPN au boulot pour taffer tous les après-midis.

Au moins, ce qui est sûr c’est que je prépare un super lancement de produit pour la rentrée, et que ce calendrier pourri (le lancement est prévu pour mi-septembre) qui me fait tant bosser en août aura au moins l’avantage de faire remarquer mon acharnement marketing. Par contre, physiquement et nerveusement, je sens que j’avais bien besoin de faire une coupure, donc j’espère que je vais tenir le coup, sans fléchir au moment le plus inopportun.

M. est arrivé en Bretagne hier soir, à Saint-Briac, et ce n’est pas anodin pour moi. J’y pense pas mal depuis ce matin. C’est l’endroit où je suis énormément allé avec lui en 2002-2003 soit en week-end ou en vacances, et je me suis beaucoup attaché à la maison ou à l’ambiance. Il y avait surtout ces petits moments privilégiés où nous arrivions seuls dans cette baraque géniale, où nous nous promenions en amoureux dans des sentiers perdus au bord de la mer, où nous faisions l’amour comme des bêtes dans cette chambre à la décoration surannée et aux meubles d’antan. Le soleil, la plage, les potes, les vacances, l’amour. Oui bon, eh bien vous comprendrez pourquoi la transition avec cet été 2004 soit particulièrement… abrupte !

Du coup, je n’ai rien fait hier, sinon me repose d’une semaine assez éprouvante, et je continue ce soir. Cela me fait du bien de passer un peu de temps chez moi, à ne rien faire, à écrire, à calligraphier quelques poèmes, à mater quelques épisodes de Sex and the City (4ème saison, ma préférée !), à lire quelques blogs ou à fourgonner sur mes sites de dragouille…

Pas plus tard que cette après-midi, on me demandait sur un chat quelle était ma philosophie (si si, on m’a demandé cela). J’ai répondu par ça :

Ce qu'il faut pour être heureux - Voltaire

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