Dangereux métier que celui d’écrivain, lorsqu’on lit ce qui est arrivé à celui-ci. Flippant… [Via Laurent]
Pectus est quod disertos facit. ∼ Pédéblogueur depuis 2003 (178 av LLM).
Dangereux métier que celui d’écrivain, lorsqu’on lit ce qui est arrivé à celui-ci. Flippant… [Via Laurent]
Ecrivain ?
en effet, cela donne à réfléchir… comment raconter l’histoire qu’il ne faut pas raconter sous peine d’être évincé, voir évisceré… :shock:
Ben pour la discrétion, c’est un peu raté! :mrgreen:
Tout ce que cette bande d’andouilles aura gagné, c’est de transformer leur village en lieu de pèlerinage pour curieux; bien fait! :-)
La dernière phrase de l’article est assez forte, à propos des zones de non-droit dans les villages reculés. Et c’est Rousseau qui parlait du « bon sauvage »? le villageois reculé est sauvage, c’est tout (je sais, j’en viens)
Facile de se retrouver dans cette histoire… je pense qu’on a tous eu une personne de notre entourage qui nous a « menacé » suite à un texte écrit sur lui/elle dans un blog…. malheureusement, les gens prennent difficilement du recul et ont trop souvent une fierté démesurée !
Bien sûr que les violents ont tort mais nous sommes aussi à une époque où trop se permettent d’écrire sans fictionner (c’est leur droit) mais sans non plus demander l’assentiment de ceux qu’ils mettent en scène « tels que ». Le moindre respect il me semble est de faire au moins l’effprt de composer un peu des vrais personnages et non pas se contenter de mettre en phrase la réalité. S’inspirer de celle-ci oui, mais la travailler un minimum que diable. (ou bien faire dans le récit-témoignage mais l’assumer).
pardon « effort » et « en phrases » (j’ai un souci du bandeau de droite qui recouvre en partie la zone de commentaires)