Je viens de finir pour la énième fois ce bouquin de Lucía Etxebarria (oui moi non plus, je n’essaie même pas de le prononcer). C’est trop de la balle ! (alors moi, parfois j’écris trop et je suis pédant, parfois je suis laconique et teubé… pfff)
Bon en deux mots, j’adore ce bouquin comme je suis fan de celui de Michael Cunningham « De chair et de sang » (auteur aussi de « Hours » d’ailleurs !), car ces ouvrages sont en fait une description sans embages de toutes les familles (ouai ouai, la votre, la mienne…) et ça fait un bien fou de voir décortiquer toutes ces/ses névroses. C’est drôle, parfois triste, amer ou tendre mais ça ne rend JAMAIS indifférent ! Et ces lectures me sont utiles, elles m’aident beaucoup dans la catharsis de mon propre vécu, c’est un peu mon abrégé de psycho perso.


Juste pour dire que j’aime tout particulièrement la collection 10/18 Domaine Etranger. Du pur bonheur !