Voilà le genre d’ouvrage dont on pourrait croire l’intrigue peu crédible ou passablement romanesque, si l’on ne savait pas qu’au contraire il s’agit là d’un des sombres épisodes de l’histoire...
Pectus est quod disertos facit. ∼ Pédéblogueur depuis 2003 (178 av LLM).