Il faut, dans la pratique des principes, être semblable au pugiliste et non au gladiateur. Si celui-ci, en effet, laisse tomber l’épée dont il se sert, il est tué. L’autre dispose toujours de sa main, et n’a besoin de rien autre que de serrer le poing.
Pensées pour moi-même, Marc-Aurèle.
Ne faurait-il donc faire confiance à quelque objet ou personne et s’efforcer de se suffir à soi-même en toute circonstance ? Voilà une vie bien solitaire.
Vincent> Ah ouai tu le prends comme ça ? Moi je voyais plutôt cela de manière positive, comme une chose à garder à l’esprit plutôt qu’un précepte stricte. Je suis flexible comme mec. :-)
Matoo> En fait c’est l’image guerrière qui a impressionné mon esprit. Que la mort puisse advenir du non-respect de ce principe…